Alain Meynier
Franchisé Heytens depuis 2016

Quel a été votre parcours professionnel avant de rejoindre le réseau ? Quels postes avez-vous occupé ? Dans quel secteur ?

Je suis dans le commerce depuis mes 17 ans. Après 10 ans dans l’univers de la restauration rapide je l’ai quitté au bénéfice du secteur de la décoration d’intérieur. Puis un jour je me suis posé une question existentielle : « Est-ce qu’il ne serait pas temps de travailler pour soi ? ». A l’issue de ce constat, je suis rapidement devenu franchisé du magasin Heytens d’Olivet près d’Orléans, puis 4 ans plus tard, j’ai repris la franchise de Paris, boulevard du Maine dans le 14ème.

Pourquoi avez-vous décidé de créer votre propre entreprise ? Pourquoi le système de la franchise ?

Un des points les plus importants pour moi est de pouvoir bénéficier du soutien d’une enseigne. Rejoindre la franchise Heytens, était à mon sens l’équilibre parfait permettant d’intégrer l’univers assez pointu du sur-mesure tout en restant autonome. Il était aussi nécessaire pour moi de pouvoir définir ma propre façon de gérer la relation avec la clientèle et la politique commerciale, tout en appliquant le savoir-faire de l’enseigne.

Qu’est-ce qui vous a séduit dans le concept de la franchise Heytens ?

Je me suis demandé « Quelles seraient les enseignes de décoration qui pourraient me permettre de travailler en tant qu’indépendant ? ». En effet, il y en a très peu.
Heytens m’a attiré par le concept, l’idée, la prégnance du magasin ainsi que les produits et le relationnel avec la clientèle que je recherchais dans mes précédentes expériences.

Comment avez-vous été accompagné dans le changement de magasin entre Olivet et Paris Maine ?

Pour commencer il y a eu l’accompagnement de mon repreneur qui était indispensable. J’ai pu approfondir avec lui la connaissance produits pour qu’il soit le plus autonome possible dans l’accueil des clients et l’accompagnement de leur projet de décoration de la fenêtre..
Et puis en parallèle, j’ai été secondé sur le magasin de Paris-Maine. L’enseigne m’a gentiment dégagé quelqu’un qui était disponible pendant que je faisais les aller-retours sur mes deux magasins.
J’avais donc quelqu’un pour me soutenir pendant un peu plus d’un mois pour faire face à l’activité et à la gestion courante du magasin.

Comment le franchiseur vous accompagne-t-il dans votre quotidien de franchisé ?

Heytens accompagne le franchisé au quotidien en lui donnant une multitude d’informations sur la partie gestion grâce à la mise à disposition de divers outils. La mise à disposition d’une “mallette magique” nous permet de suivre notre marge, le pourcentage des remises, le pourcentage du chiffre d’affaires de notre boutique et le volume des achats. De plus, le suivi des facturations est hebdomadaire ce qui permet de les transférer directement à notre comptable.

Et puis il y a la partie accompagnement avec les formations, les lancements de produits, les comités, ce qui crée un véritable échange entre le franchiseur et les franchisés.

Le franchiseur se montre très disponible quand nous faisons face à des difficultés ou que l’on traverse des doutes ce qui est un point très rassurant notamment dans notre métier car nous sommes et restons indépendants.

Comment se porte votre point de vente aujourd’hui ?

L’année 2020 a été très particulière due à la crise sanitaire. En effet, nous avons été fermés deux mois lors du premier confinement et en suite une demi-activité sur le mois de novembre. Cependant, notre secteur n’a pas été aussi affecté par la pandémie que d’autres secteurs.
Notre objectif quotidien est de satisfaire nos clients car cela permet de générer de nouveaux projets et donc logiquement de continuer à progresser !

Quels conseils donneriez-vous aux candidats désireux de rejoindre le réseau de franchise Heytens ?

Se poser les bonnes questions : « Est-ce que j’ai envie de passer la plupart de mon temps de travail auprès des clients ? ». En effet, 90% de mon temps est consacré à la vente. Il est donc nécessaire d’apprécier être au contact du client pour pouvoir l’écouter et lui faire la meilleure proposition possible. C’est un métier de relationnel, de passion, donc il faut savoir transmettre sa passion